Souvenirs d'un DRH

On a tous subi des entretiens d'embauches (à part ceux qui ne sont pas encore sortis du système scolaire ; profitez-en, petits veinards). Et on a tous pensé à ce qu'il ne faut PAS faire pendant ces entretiens.
Ne vous mordillez pas les doigts. Ne vous touchez pas le nez. N'interrompez pas votre interlocuteur. Toute erreur vous coûtera le poste et vous resterez encore six mois au chômage.
Certains sont à des années-lumières de ça. Les histoires suivantes ont (paraît-il) été ramassées dans les directions des ressoures humaines de cent grandes entreprises américaines.
(Texte récupéré et traduit vers 1997).


Le candidat a dit qu'il était si qualifié que s'il ne décrochait pas le poste, cela prouverait que le management de la compagnie était incompétent.


A rempli le questionnaire allongé par terre.


A amené son gros chien à l'entretien.


Mâchait du chewing-gum et faisait des bulles en permanence.


N'a pas arrêté de ricâner bêtement pendant tout l'entretien.


Elle portait un walkman et disait qu'elle pouvait écouter simultanément ma voix et la musique.


Un candidat à moitié chauve s'est excusé et a disparu un instant. Il est revenu quelques minutes plus tard, portant une perruque.


Le candidat a proposé un bras de fer au recruteur.


A annoncé qu'elle n'avait rien avalé à midi, et a commencé à manger un hamburger et des frites dans le bureau du recruteur.


Sans dire un mot, le candidat s'est levé et est sorti au beau milieu de l'entretien.


Un homme portait un survêtement lors d'un entretien pour un poste de vice-président financier.


A dit que s'il était embauché, il prouverait sa loyauté en se tatouant le logo de la compagnie sur le bras.


A interrompu l'entretien pour téléphoner à son thérapeute et lui demander conseil pour répondre à certaines questions de l'entretien.


Ne voulait pas quitter son siège jusqu'à ce que je l'embauche. J'ai dû appeler la police.


Quand je lui ai demandé quels étaient ses hobbies, il s'est levé et a fait des claquettes tout autour du bureau.


Avait un petit flipper portatif et m'a proposé une partie contre lui.


A pris une brosse dans mon sac, s'est peigné, et est parti.


A sorti un Polaroïd, et m'a pris au flash. A dit qu'il collectionnait des photos de ceux qui l'interviewait.


A dit que le poste ne l'intéressait pas parce qu'il était trop bien payé.


Alors que j'étais au téléphone, le candidat a sorti un exemplaire de Penthouse et a parcouru seulement les photos, s'attardant surtout sur le poster central.


Pendant l'entretien, un réveil sonna dans la serviette du candidat. Il le sortit, l'éteignit, s'excusa et dit qu'il devait partir, il avait un autre entretien.


Un coup de téléphone arriva pour lui durant l'entretien. C'était sa femme. Il dit à peu près : "Quelle compagnie ? Quand est-ce que je commence ? Et le salaire ?" Je lui dis : - " Je suppose que ça ne vous intéresse plus de poursuivre l'entretien. - Si, si vous me proposez plus," répondit-il promptement. Je ne l'engageai pas, mais j'appris plus tard qu'il n'avait pas d'autre offre. C'était une combine pour obtenir un salaire supérieur.


Une candidate arriva avec une seule chaussure. Elle expliqua qu'on lui avait volé l'autre dans le bus.


L'attaché-case du candidat s'ouvrit quand il le prit, et le contenu se déversa, révélant des dessous féminins, et un assortiment de maquillage et de parfums.


Il vint en mobylette et la laissa à la réception. Il ne voulait pas qu'on lui vole, et refusait de la laisser dehors.


Il ôta sa chaussure et sa chaussette droites, sortit une poudre médicale pour les pieds, et l'appliqua sur le pied et dans la chaussure. En remettant chaussette et chaussure, il expliqua qu'il devait le faire quatre fois par jour et que c'était l'heure.


Le candidat dit qu'il ne voulait pas vraiment décrocher un job, mais que le bureau pour l'emploi avait besoin d'une preuve qu'il en cherchait un.


Il sifflait pendant que l'interviewer parlait.


Il demanda qui était cette adorable poupée, en désignant la photo sur le bureau. Quand je lui dis que c'était ma femme, il demanda si elle était à la maison et voulut mon numéro de téléphone. J'ai appelé la sécurité.


En désignant une boîte noire qu'il apportait dans mon bureau, il déclara que s'il n'était pas embauché, la bombe exploserait. Incrédule, je commençais par dire qu'il ne serait jamais engagé, et que j'allais appeler la police. Il se pencha sur la boîte, appuya sur un bouton et détala. Personne ne fut blessé, mais je dus changer de bureau.


Il demanda si je voulais de la cocaïne avant l'entretien.


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